PrésentationPrenom: Je m'apelle Edwin,
Nom: mon nom est Til-illan,
Age: j'ai 20 ans,
sexe: je suis de sexe masculin,
Race: et de race humaine.
Physique: Je mesure entre 1m50 et 1m60 et je porte un ensemble de vêtement en cuir noir usé (pantalon et haut en cuir), torse nu sous mes vêtement.
Je suis mince et musclé et je possède des yeux noirs cachés derrière mes cheveux argentés et j'affiche une attitude nonchalante difficile à comprendre.
Je porte un holster en travers dos pour tenir mes armes.
Caractere: A la fois introverti et extroverti, mon caractère est difficile à cerner, j'essaye de comprendre les autre, psychologue sur les bords, j’essaye ensuite de les aider de mon mieux.
Pour moi une vie est une vie mais j'ai tendance à vite oublier mes valeurs dès que suis énervé (ça n'arrive heureusement pas souvent car je suis très calme et prend tout du bon coté).
Aime: J’aime la tranquillité car pour moi l’énervement, l’excitation excessive sont mauvais pour la santé car:
- Citation :
- l’excitation et l’énervement sont des dérèglements internes et contribuent à ces dérèglements, fait monter la tension (sanguine et énergétique) et dérèglent les réseaux énergétiques.
j'aime également la guitare et les arts martiaux d'autodéfense pacifique.
N'aime pas: je n'aime pas la violence gratuite, l’énervement et l'excitation excessive.
(HRP) pour les raisons citées ci-dessus (HRP)
Histoire: Malheureusement le peu de mon histoire que je connais, je vous l'ai raconté juste avant, mais bon je vais vous conter ce qu'il m'est arrivé depuis là où je me souviens.
L'odeur acre des excréments fut la première chose dont je pris conscience. La seconde fut la douleur : insupportable, nouant le moindre de mes muscle. J’essayait de m'en arracher, de me diriger vers la lumière que j'entrevoyait, mais, trop faible, je m'enfonçait en tournoyant dans les ténèbres et je découvrit qu'elle aussi étaient taillées dans la souffrance.
Mon rêve revint me tourmenter une fois encore. Je me trouvais dans une pièce étroite, un bébé dans les bras. Deux enfants se tenaient près du feu ; deux fillettes aux cheveux d'or et aux joues roses qui me souriaient. La porte s'ouvrit et quelque chose scintilla sur le seuil. L’éclat de l'apparition éclipsa la lueur du feux mais pas sa chaleur. En tendant la main vers elle, je laissais échapper le bébé. Je franchi la porte qui se referma derrière moi. La vision s’enfuit, se réduisant à une tête d'épingle à l'horizon, je me retournais vers la porte. Mais cette dernière refusait de s'ouvrir. En dépit de tous mes efforts, j’étais incapable de retourner à l'intérieur auprès des enfants. De désespoir je me jetais sur la porte; mon corps se heurta à un roc.
Je m’éveillai en sursaut, un filet sueur aux coins de la bouche. Un air inhabituel emplissait mes poumons. Je pris peur. Moi qui m’étais accoutumé à ma cellule me voyais maintenant privé du maigre réconfort de la familiarité.
Quand m'avait-on relâché? Je me rappelait a peine la dernière fois que j'avait senti la froide caresse de l'eau contre mes lèvres. Cependant, un détail se présenta avec clarté a mon esprit, mon nom : edwin. Je m'appelait Edwin til-illan - mais ce ne pouvait être tout: j’avait forcement eut un passé. En moi remonta un vague souvenir sur lequel je m'efforçait de me concentrer, en vain; impossible de se rappeler. J’était seulement Edwin, qu'on avait emprisonné et qui se retrouvait libre.
J’obligea mon esprit a regagner le présent et fit un bref tour d'horizon: je gisait, seul, au milieu d'une rue sombre entre deux grands bâtiments s'étendant loin vers le ciel "je dois me trouver sur coruscant».
Je commençais à marcher au hasard quand un brigand me tomba dessus.
Il était armé d'une vibrolame et de tout son orgueil, alors que moi je n’avais rien.
Je le laissait attaquer en premier, il visa ma main droite tendue en avant et par un vieux réflexe d'origine inconnue (par moi) j'avançait je pied gauche en amenant ma main droite bloquer le poignet de mon adversaire, ensuite ma main gauche prit la position de ma main droite verrouillant fermement son bras. a ce moment nous sommes épaule contre épaule et regardant dans la même direction, poussant un peut mon coude contre le sien l'obligeant a pivoter et a perdre l'équilibre je basculait brusquement en avant ce qui le projeta a genoux au sol ,mais je tenait toujours son poignet et pivotant sur ma jambe gauche pour me retrouver face a lui ,ses doigt pointée derrière lui je poussait vers son dos ,dos sur lequel il retrouva allongé ,je tournait autour de lui pour l'obliger a se mettre sur le ventre , je descendit son bras et lui fit une sévère clé de bras pour qu'il lâche son arme puis je continuait la torsion jusqu'a que ses articulation soient sur le point de craquer ,au contraire de ses nerfs qui avaient déjà craqué depuis longtemps et il me supplia de le laisser partir, ce que je fit, mais je gardait la vibrolame puis je me dirigea vers la sortie de la rue en me demandant ce qu'était ce mouvement que j'avait fait . Aïkido fut le premier mot qui me venait, mais où l'avais-je donc appris??
C’est sur cette question que je me dirigeai vers la lumière et une nouvelle vie.