Nom : Overwolf
Prénom : Hyppolite
Âge : 26 ans
Sexe : féminin (le dernier qui a prétendu le contraire n‘a pas pu s’asseoir pendant une semaine)
Race : Humaine… légèrement modifiée
Description physique : Comme toute les femmes de sa communauté, Hyppolite est d’une taille et d’une force comparables à celles d’un Wookie adulte au mieux de sa forme. Heureusement pour elle, la ressemblance s’arrête là. (Qui a parlé de la pilosité ???!!!)
Tout son corps n’est que puissance et vitalité, que ce soit pour la largeur de son torse, l’épaisseur de sa crinière blonde, les reflets cuivrés de sa peau plus résistante que celle de n’importe quel humain mais toujours aussi douce qu’une peau de jeune fille, ou encore le volume plus que généreux de ses attributs mammaires. le plus étonnant reste que malgré son gabarit hors norme, elle conserve dans ses traits un type d’harmonie particulier que, faute d’un meilleur terme, on appelle « féminité ». De même que les lionnes, malgré leurs tailles, gardent des allures de chats, cette géante garde dans les lignes de son corps et surtout de son visage une féminité flagrante et même tout à fait séduisante.
Description mentale : Hyppolite est une Gentille avec un grand G, mais aussi une bombe atomique en puissance. Ses joies, ses colères, ses appétits, qu’il s’agisse de nourriture, d’action, d’aventure où d’amour… tout cela est à l’image de son corps : démesuré.
La plupart du temps, elle se montre extrêmement douce et chaleureuse, d’une sensibilité à fleur de peau et toujours prête à rendre service où à consoler les chagrins, mais face au danger, c’est une guerrière inébranlable, sauvage et déterminée qui ne s’encombre pas de subtilités, préférant les solutions les plus directes. Elle prends très au sérieux ses devoirs de protectrice et ne laissera personne lever la main sur tout homme ou enfant qu’elle considère comme étant sous sa responsabilité.
Education oblige, elle fait grand cas de la différence des sexes au moins chez les humains et traite les hommes, à l’exception des plus anciens, à peu près comme des enfants de cinq à huit ans. Ce qui veut dire qu’elle se montre avec eux particulièrement attentive, affectueuse, maternelle, directive et… oui, il faut bien le dire, autoritaire ! L’idée que, partout ailleurs dans la galaxie, les hommes portent des armes, se battent entre eux et exercent des métiers aussi dangereux que celui de pilote d’astronef la consterne et il lui ait souvent arrivé dans les tripots où la nécessité de rencontrer des gens un peu louches l’obligeait à mettre les pieds de séparer deux ivrognes en train de se battre en les prenant par la peau du cou et en leur administrant un sermon retentissant rythmé de quelques tapes sur les fesses bien vigoureuses.
Histoire :
Les guerrières géantes de la race d’Hyppolite n’ont été que récemment redécouvertes sur une planète frontalière très isolée du Consortium de Hapès (voir entre autre, le mariage de la princesse Leïa), sur lesquelles l’urbanisme ne s’est pratiquement développé que sous forme de villes flottantes exploitant les richesses de l’océan, la majorité des terres émergée étant jugées moins intéressantes, laissées à la forêt et, croyait on, vierge de toute créature intelligente.
Les géantes y habitaient pourtant depuis plus d’un millénaire mais, quoi que leur territoire contienne son quota de prédateurs dangereux et de catastrophes naturelles potentielles, leur force et leur résistance physique les avaient dispensés, jusque là, de développer la moindre forme de technologie et, donc, de se faire remarquer.
Quand à leurs origines, toute les théories sont permises. Certains les voient comme de simples humaines que la nourriture où l’atmosphère d’une zone particulière auraient fait muter, où comme le résultat logique de la sélection naturelle sur un territoire très inhospitalier. La rumeur la plus populaire parlerait d’un commando de guerrières d’élite qu’une aristocrate du Consortium (peut être la reine mère en personne) aurait essayé d’obtenir par sélection et manipulation génétiques. Une poignée d’entre elles auraient pu s’enfuir ou, plus simplement, être exilées parce qu’elles ne correspondaient pas aux attentes de leur créatrice. Elles auraient trouvé des mâles humains sur cette planète fondé une nouvelle nation, complètement isolé du reste du système.
C’est dans un minuscule village isolé au milieu de la jungle qu’Hyppolite vint au monde quelque 26 ans plus tôt. Un beau bébé en pleine forme qui braillait déjà assez fort pour intimider un Rancor adulte. Ses premières années se passèrent à courir, sauter, nager, grimper aux arbres et apprendre les bases du crêpage de chignon, pardon de la lutte, avec les gamines de son âge. A quatre ans, sa maman lui présenta pour la première fois ces créatures graciles et adorables qu’elle appelait des « garçons » et lui proposa d’aller les rejoindre en lui faisant tout un tas de recommandations de la plus haute importance, comme de ne surtout pas jouer à la bagarre avec eux où les serrer trop fort, parce qu’ils étaient fragile et qu’on pouvait leur faire très, très mal même sans le faire exprès.
« Voui maman, j’frais attention. » Promit la fillette. Sa mère n’était rien moins que rassurée et passa la journée entière à surveiller sa progéniture du coin de l’œil. A sa grande et agréable surprise, cette petite sauvageonne bouillonnante d’énergie se tint parfaitement calme durant tout le temps qu’elle passa avec eux. Bien sûr, une fois les garçons partis et ses copines revenues, ce ne fût plus que des « Hyahaaa ! », des gnons, des roulades dans la boue, j’en passe et des plus désolantes.
En grandissant, elle rejoignit naturellement la caste des guerrières, dont la mission principale consistait à défendre les hommes et les enfants tandis que les chasseresses couraient le gibier. La vie était tranquille, les prédateurs restaient prudemment à l’écart et les neurfs était bien gardés… Hyppolite s’ennuyait ferme. Un peu après son vingtième anniversaire, toutefois, un événement comme personne, dans son village n’en avait jamais connu allait bouleverser sa vie : une compagnie d’exploitation minière d’une planète étrangère venait juste de construire, à quelque dizaines de kilomètres de son village, un astroport. Désemparés devant cette menace inconnue, les habitants du village décidèrent d’envoyer l’une de leur guerrière en éclaireur pour évaluer la situation et Hyppolite, qui n’attendait qu’une occasion de partir à l’aventure, se porta immédiatement volontaire.
A sa grande surprise, d’autre géantes des villages environnants avaient déjà fait le voyage et s’étaient mêlés aux étranger qui la reconnurent tous, avec une indifférence blasée, comme une « autochtone ». Ses compatriotes lui apprirent les règles de conduite élémentaires de cet endroit et lui remirent un peu de cette étrange monnaie qu’ils appelaient « crédits » avant de lui conseiller d’aller faire un petit tour dans cet espèce de grosse taverne, lieu de prédilection des étrangers pour se reposer et nouer de nouvelles connaissances.
Ainsi Hyppolite entrât elle pour la première fois dans une cantina. Elle allait y faire la connaissance d’un chasseur de prime Zabrak grand amateur de cigares, de deux larrons de race indéterminés (une grande créature rouge et maigrelette et un petit bonhomme bleu tout trapu) et d’un ravissant petit blondinet qui portait discrètement sous un vêtement de tissu terne et grossier une petite babiole de métal dont la forme évoquait vaguement le manche d’une épée.
La petite créature bleue se révéla être un parfait malotru qui la prit violemment à partie dès son entrée dans la cantina, raillant ses vêtements frustes et quelque peu déshabillés. Alors que le ton commençait à monter entre eux, le jeune garçon qu’elle avait remarqué vint s’interposer et prier le petit homme bleu de se calmer. Celui ci répliqua en provoquant et en bousculant le garçon. Peu désireuse de voir ce frêle jeune homme risquer de prendre des coups à sa place, Hyppolite reprit pour elle l’agressivité du bonhomme bleu en lui renversant son propre verre sur la tête. Dans l’agitation qui suivit, son complice (l’homme ficelle à la peau rouge) en profita pour détrousser sournoisement les clients de la cantina et serait parvenu à ses fins si la géante, depuis sa haute taille, n’avait pas perçu la manœuvre. Bloquant un coup de poing étonnamment violent du petit bleu, elle le décolla comme une plume à deux mètres du sol et le projeta comme un missile à travers la cantina pour aller percuter son complice de plein fouet.
Un peu plus tard, alors que leur amitié Hyppolite et le jeune garçon furent accusés à tord d’un cambriolage de plusieurs milliers de crédits et jetés dans une prison dont les barreaux en duracier avait été spécialement conçu pour résister à la force des géantes. Elle dût recourir à une ruse assez malhonnête pour sortir de ce mauvais pas :
« Excusez moi monsieur le gardien, vous pouvez me faire sortir un instant ? Je voudrais aller au petit coin.
_Ahem… euh… oui, ça doit pas poser trop de problèmes. *ouvre la porte *
_Merci ! *SBAAAAF * désolée… »
Une fois le gardien tombé dans l’inconscience, le jeune Jedi (comment, vous n’aviez pas deviné ?) eu tout loisir de sortir son sabre laser pour découper les barreaux de sa propre cage, ce qui ne manqua pas d’émerveiller la géante.
« Wahou ! De la lumière qui coupe ! »
Après une série d’aventure mettant en scène, entre autre, un joueur professionnel, un Wookie caractériel, un pilote endetté jusqu’au cou et pas mal de castagnes, le petit groupe dont Hyppolite faisait partie parvint à semer les autorités en prenant la fuite dans un vaisseau « emprunté » au spacioport.
Depuis, elle court toujours.
Sujet: Hyppolite Overwolf 
Sam 27 Oct - 19:24
Merci beaucoup, je corrige ma fiche.