Présentation Esméra Sebatine

Nom : Sebatine
Prénom : Esmera
Âge : 22 ans
Sexe : Féminin

Race : Humaine

Description mentale : « Qui est-elle ? » C’est ce que se demande les rares personnes qui ont le privilège de pouvoir l’apercevoir, cette personne aussi étrange que magnifique, un ange tombé du ciel ? Ou bien un démon portant le masque de l’indifférence ? Quoi qu’il en soit Esméra appartient à cette catégorie de personne à qui tout à sourie en apparence.
Qu’y a-t-il dans l’esprit de la jeune femme, habillement caché sous un masque imperturbable ? Un personnage torturé, sacrifiant sa véritable personnalité pour s’accorder à la perfection avec l’éthique de son père, un sith qui ne vie que pour l’Empire, n’ayant une fille que pour assurer sa succession, pas d’amour dans cette famille ou l’échec n’est pas permis, ou la droiture et la sévérité prônent, les mots d’ordres se résument à : Discipline, et dureté, pas de pitié pour les faibles et ceux qui ne se plient pas aux désirent de l’Empire.
Effrayant n’est-ce pas ? Déjà petite, la jeune femme avait essayé de faire changer son père, de le faire sourire, d’attirer son attention sur elle pour recevoir au moins une marque d’affection ! Mais non, pas de place pour l’amour dans cette famille ! Le seul geste qu’elle put recevoir est une main lourde et ferme posée sur sa tête lorsqu’elle avait cinq petites années. Du coup, inutile de perdre son temps à essayer d’attirer l’attention d’un type qui ne vous regarde même pas ! Avant, Esméra était une petite fille pleine de vie, souriante, tonique et surtout très turbulente, ses nourrices avaient bien du mal à la faire tenir en place, elle était du genre à sauter dans les flaques de boues par temps de pluie et à chasser les vers de terre après ! La petite s’émerveillait sur tout ce qu’elle pouvait voir, tout lui paraissait ludique. Elle aimait se moquer des Chagrians et leur tête bizarre, d’ailleurs l’Empire était au courant du caractère intrépide de la gamine et espérait que cette dernière allait le garder et pourrait ainsi combattre et se sacrifier volontiers pour l’Empire.
Mais ce temps ou Esméra était un vrai garçon manqué cessa petit à petit pour laisser place à ne petite fille étrangement calme et disciplinée, ne parlant presque plus, ou sauf pour répondre aux questions qui valaient la peine que l’on gaspille de la salive pour y répondre autrement…elle s’effaça petit à petit, ses yeux perdirent la lueur espiègle qui brillait au fond de ses prunelles bleus pour laisser place à un regard froid, stoïque, dépourvue de toute émotion, c’est à partir de ce moment que son père l’appela « Ma vision onirique ». Cette malheureuse métamorphose s’acheva pour donner naissance à la nouvelle Esméra : Une jeune femme taciturne, inexpressive, inquiétante de par son calme qui ferait pâlir un Jedi, au final on ne peut savoir ce qui se passe dans son esprit, cependant elle n’en reste pas moins quelqu’un qui avait le temps était devenue autoritaire, n’excusant aucune erreur et ne laissant pas l’amour empoisonner son cœur. Fine calculatrice, son père lui répétait souvent qu’elle serait certainement la relève s’il lui arrivait quelque chose. Charismatique au possible, elle possède une force mentale qui pourrait en déstabiliser plus d’un, Esméra ne semble rien aimer, et ressemble plus à une poupée animé d’une volonté propre qu’un être humain.

Cela, n’est que la partie visible de l’iceberg, en effet, voyant qu’elle n’arriverait jamais à capter l’attention de son père, la jeune femme, à l’époque enfant, trouva que la meilleure façon de recevoir un peu d’amour paternel serait de devenir comme lui, aussi froid et impitoyable que lui…au début cela ne fut pas une mince affaire car Esméra agissait contre sa véritable personnalité mais à force de persévérance, celle-ci arriva à son but final qui était de camoufler habillement sa véritable personnalité pour pouvoir enfiler sans problème le masque de l’indifférence…Au fond d’elle-même, Esméra n’est pas quelqu’un de cruel comme elle le fait croire à tout le monde non, en réalité Esméra à beaucoup de centre d’intérêt et surtout elle possède un cœur qui sait aimer son prochain et qui aime son peuple, qui souffre de voir tant de déchéance autour d’elle et qui se hait de ne pouvoir faire autrement que de se plier à l’Empire…Vous l’aurez comprit, la jeune femme à conservé son esprit rebelle et n’attend qu’une chose c’est de pouvoir se débarrasser de l’Empire et de ses dictateurs. C’est quelqu’un qui n’a pas froid aux yeux et qui même si elle fait partie de la crème de la société, n’hésitera pas à se salir les mains au nom de la Liberté.

Description physique : « Ma vision onirique » C’est comme cela qu’est qualifié la jeune femme par son père et il n’a pas tout à fait tord. La jeune femme fut très gâtée par Mère Nature. Ne ressemblant ni à son père ni à sa mère, Esméra à put tirer son épingle du jeu en devenant une femme aussi belle qu’intelligente.
Grande, élancée, ces deux traits physiques lui donnent une apparence fragile, une apparence à laquelle il faut faire attention sous peine de la voir se briser en deux comme une vulgaire brindille ! Or Esméra est plus résistante qu’elle ne le laisse paraître bien qu’elle ne soit pas une combattante…Qu’est-ce qu’Esméra ? Une femme aux cheveux étrangement bleutés, c’est une femme à la peau blanche et laiteuse, douce et délicate qui semblerait se déchirer à la moindre caresse, Esméra c’est, de grands yeux bleus qui animent son visage, deux perles d’océan impassibles qui ne semble réagir à aucun événements qui l’entour. Les traits de son visage sont fins, tout comme ceux de ses lèvres d’un violet naturel, cadavre exquis.
Se tenant toujours droite, des manières élégantes (La sénatrice déteste le manque de manière), délicates, aussi légères que des pétales de fleurs tombant en silence à la surface de l’eau. De l’extérieur elle ressemble plus à une poupée de porcelaine animé par des files semblants invisibles, celle-ci aime les vêtements de bons goûts mais jamais trop encombrants, sauf peut-être lors des réceptions. Son père est très fier d’elle car elle a su devenir une femme sublime autant qu’intelligente.

Histoire :

« On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille »

c’est ce que dit cette très ancienne phrase, c’est malheureusement ce qui c’est passé pour moi, je suis née dans une famille riche et puissante, nous ne manquions de rien, cela était une certitude, c’est ce que disent les gens de l’extérieur…je les entends parfois dire : « Oh…comme j’aimerai être aussi riche que la famille Sebatine, leur palais est tellement beau ! » Cela me donne envi de vomir, même si je continu à porter ce masque d’indifférence voulut, Dieu…s’il savait se qui se passe derrière ses murs épais qui ne laisse pas traverser les plaintes des hommes et des femmes qui travaillent pour nous, il n’y a aucun amour en ces murs, juste la cruauté envers les êtres faibles, juste de la haine, juste de la droiture et de la froideur.
S’ils savaient mon Dieu, je préfèrerai être pauvre comme un moine plutôt que de vivre dans ce monde sans chaleur humaine, c’est dur…très dur de voir que si vous voulez être aimé par celui qui a contribué à vôtre venue au monde vous rejette car vous ne représentez pas l’idéal qu’il se faisait de vous, ces murs froids, je les déteste ! Je suis née sur Coruscant, une planète ou il ne fait pas trop bon y vivre, mon père se nomme Azéran Sebatine, il est l’actuel sénateur de Coruscant de Chandrila et il a une furieuse admiration pour l’Empire et les Siths qui vont avec, ma mère, enfin celle qui m’a mise au monde : Belthéris, une femme plutôt effacé, qui préfère se retirer dans sa propriété sur Naboo, seule avec ses dames de compagnie plutôt que de m’élever…ai-je été désiré un jour ? On ne s’occupe pas de moi, se sont des nourrices qui s’en charge, jamais je n’ai connu l’odeur du sein de ma mère, cela dit je ne m’en porte pas plus mal, mais plusieurs fois je me suis demandé pourquoi est-ce que j’étais venue au monde ? Mon père aurait préféré avoir un fils, mais curieusement il me tolère à ses côtés…en fait je n’ai vue que lui depuis ma plus petite enfance. Je me souviens d’avoir été une enfant agitée il fut un temps, cela me fait sourire lorsque je suis seule, je me regarde dans le miroir et là…je ne me reconnais plus, je ne suis plus la petite fille joviale qui riait même lorsque mes genoux étaient écorchés après être tombé.
On dirait que le masque commence à s’infiltrer par tous les pores de ma peau et j’ai bien peur qu’un jour il devienne partie intégrante de mon âme. Cela m’effraye…mais au fait, vous voudriez peut-être connaître la raison pour laquelle j’ai décidé jadis de murer mes émotions ? Assaillez-vous et écoutez… Le caractère de mon père était aux antipodes du miens, et donc non compatible, soit ! J’ai arrêté de courir après sa reconnaissance et j’ai continué à grandir dans mon monde haut en couleur cependant…Un jour, un événement qui marqua à jamais ma mémoire arriva : Ils étaient une douzaine et il y avait de jeunes enfants, je dirai entre 12 et 13 ans, ils faisaient partis de ces fameux rebelles contre lesquels mon père bataillait sans cesse, il y avait bien entendu des adultes mais j’étais étonnée de voir que même des enfants pouvaient prendre les armes, je pensais qu’ils allaient juste être puni un petit peu, comme moi lorsque je faisais des bêtises mais, mon père était vraiment en colère et il ordonna l’exécution de toutes les personnes prisonnières…je me souviens d’avoir regardé mon père, abasourdie je pense…le mot exécution résonnait dans mes oreilles, encore et encore, un espèce de bourdonnement incessant…Un « non » vient mourir au fond de ma gorge serré…j’avais peur de mon père à l’époque alors je n’osais jamais lui dire le fond de ma pensé.
Quelques jours plus tard vint l’exécution de ces braves gens, ont les accusaient de tous les mots mais j’étais certaines qu’ils n’étaient pas aussi mauvais qu’on le prétendait, aussi j’ai commencé à haire mon père pour sa cruauté sans borne et c’est là que je commençai aussi à changer pour devenir ce que je suis maintenant…je décidai de devenir une femme belle et forte, et non ce petit garçon manqué qui aimait jouer dans la boue. Mon caractère commença à plaire à mon père, il commença à me regarder enfin…cela me fait pensé qu’il faut arriver à faire biens des choses pour se faire accepter par ses semblables…du coup je n’ai pas une grande attache pour les valeurs familiales, vous m’en excuserez probablement, mais cela n’est pas faute d’avoir essayé d’en créer tout du moins une partie, mais je m’égare encore, je voulais vous dire donc que j’étais devenue la parfaite poupée à la fois docile mais aussi redouté pour mes colères froides, qui coutaient généralement cher à ceux qui les provoquaient bien entendu je ne punit que ceux faisant partie de l’entourage de mon père car pour moi, ils ne valent pas mieux les uns des autres, j’attend avec impatience ce jour ou je pourrai anéantir l’Empire et faire régner une air de justice et de Droit, ou tout le monde pourra vivre en liberté et exprimer ses pensés sans craindre la potence…oh…une utopie me direz-vous, peut-être mais, ne dit-on pas que l’espoir fait vivre ? Et moi j’ai encore l’espoir…J’ai appris la politique et tout ce qu’il fallait savoir en temps que potentiel futur sénateur, ce fut un travail de longue haleine, mais finalement j’arrivai à la fin de mon apprentissage vers 17 ans, c’est alors que j’ai commencé à regarder par delà les frontières, là ou se cache les rebelles, tant bien que mal, j’arrivai à gagner lentement mais sûrement leur confiance pour devenir une source fiable mais en faisant toujours attention à ne pas me faire surprendre par les mouchards de mon père car s’il avait le malheur de l’apprendre, je serai exécuter haut et court sur la place public…ce n’est pas parce qu’il m’appel « ma vision onirique » qu’il sera plus clément à mon égare, au contraire, cela sera un prétexte pour montrer jusqu’à quel degré va sa cruauté et sa folie !

A 19 ans, une formidable nouvelle parvint à mes oreilles alors que je me rendais à la bibliothèque de notre demeure, j’eu vent que mon père était atteint d’une maladie vicieuse, incurable…qui veut dire incurable voulait dire mortelle…l’horizon s’éclaircit alors, je vois une pointe d’espoir…enfin, mes espérances et celles de tous les peuples soumis venaient de voir le jour, mon père allait rejoindre le royaume des ombres, il n’avait plus qu’a attendre, s’affaiblissant de jour en jour et bientôt incapable d’assurer les réunions extraordinaires…on lui conseil de prendre un potentiel successeur par vote…probablement un de ses lèche bottes de conseillés, tss remplacer un tyran pas un autre…probablement piétinant le peuple de sa main de fer, je passe mon chemin, je retourne à mes livres, qui eux sont bien plus sages que tous ces êtres vivants. Le soir venant, le repas est servit, je suis dans cette même pièce dans laquelle je dine depuis que j’ai l’âge de marcher, mon père semble blême, pas étonnant vue ce qu’on lui avait annoncé ! Je pense qu’il s’imaginait mourir dans 90 ans mais le destin semble en avoir décidé autrement. Je mange tranquillement, c’est alors qu’il m’adresse la parole, il avait une nouvelle importante à me dire, je l’entends encore dire ces mots :

« Esméra, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer, » -Temps de pause- « Je vais mourir, dans très peu de temps »

Ma réaction, je reste stoïque, comme à l’ordinaire, cela fait sourire mon géniteur qui décidément pense que je suis une bonne fifille et que je suis son portrait craché…par pitié, tout mais pas ça, on ne se ressemble pas toi et moi papa…toi tu es un monstre, tes mains sont tâchées de sang les miennes sont encore pures, la mort vient te chercher car il faut bien payer un jour les actes passés et tes misérables actions, elles valent bien au moins sa.

« Je serai bientôt trop faible pour pouvoir continuer mes fonctions de sénateur, et une réunions extraordinaire a été organisé pour décider de mon prochain successeur. »

Bien ! Il va m’annoncer que c’est un de ses larbins qui va prendre sa place, je m’y attends, ses conseillés et lui sont très proches et se sont toujours montrés très fidèles, braves toutous…ils ne méritent même pas de porter un prénom, enfin je ne peux m’opposer ouvertement aux décisions de mon père, même si l’envie de devenir sénatrice brûle en moi, je dois respecter ses ordres…pour le moment, entendez-le bien.
Cependant, je me trompai, et il ajouta les yeux brillants de fierté :

« J’ai beaucoup parlé de toi au conseil, et ce depuis pas mal d’années, ton caractère indomptable et sans pitié, tu as un grand sens de la responsabilité et je sais que tu es fidèle à l’Empire, tout le monde s’accorde à dire que tu es devenue une femme exemplaire et j’ai demandé à ce que tu sois une candidate pour ce post, cela a été difficile de convaincre certains autres membres cependant en usant d’arguments j’ai pu emporter les voix pour toi ma fille, tu sera donc mon successeur, la sénatrice Esméra Sebatine. »

A ce moment là, je pense que mes yeux se sont légèrement agrandis de surprise, je n’en n’espérais pas tant à vrai dire ! Ils sont plutôt frileux les vieux de l’Empire à l’idée de voir une femme assurer se post, cela dit, j’en aurais presque pleuré si je n’avais été inexpressive, je devenais sénatrice, objet de l’Empire officiellement mais officieusement, j’étais de celle qui allait ouvrir une autre voix, une nouvelle aire, celle qui allait couper la corde qui étranglait les peuples, briser l’injustice qui enserrait de ses doigts les divers races qui peuplaient l’univers et qui luttait pour survivre.
Je suis aussi virulente qu’une maladie, aussi corrosive que l’acide, j’ai le pouvoir, l’argent, avec tout ça, nous pourrons mener notre petite rébellion le temps voulut, après murs réflexions, nous renverserons l’Empire, à main nue s’il le faut, je n’ai pas peur de la mort, elle me semble bien douce face à toute la misère du monde.
C’est ici que commence mon histoire, moi Esméra Sebatine, sénatrice de Coruscant et de Chandrila, je compte faire le nécessaire pour rallier dans l’ombre, les rebelles à ma cause, et toujours dans le plus grand secret, c’est mon unique but, que je sois foudroyer si j’échoue ! Mon père n’est pas encore mort, il faut donc attendre encore un peu, la Grande Faucheuse ne tardera pas à venir frapper à sa porte et demander des compte, ainsi son âme pourra brûler dans les entrailles de l’enfer, et je ne le plaindrait pas…il a fait trop de mort pour pouvoir mériter le moindre signe de compassion venant de ma part, lorsque sa vie aura quitté son corps, je resterai impassible, on me prendra certainement pour une personne sans cœur, mais qu’importe, officiellement c’est ce que je suis. Je ne veux plus voir d’enfant exécuté sur la place publique sur mes planète, je ne le permettrais pas…pour les rebelles, j’ai des projets bien précis en ce qui les concernes, autrement, je n’aurais pas le chois de les faire emprisonner afin de sauver les apparences. Je vais par ailleurs me débarrasser des conseillés de mon père, je n’ai pas besoin de leurs conseils ni de lèche botte dans mes jupons.

Evidemment, validée cette magnifique fiche ... et puis je prend sur moi de te rajouter un bonus de Creds (+10'000).