Une introduction plus que douteuse...

Pilotant sans répit son flash speeder, Maul, alias 365, alias moi, soupira faiblement alors que le vent passait sur ma peau, si j'avais eu quelques cheveux, j'aurais été décoiffé...
Avantage des Zabrak? Pratique d'avoir des cornes hein...

Survivre...
Avant tout survivre...
Survivre mieux qu'un revenant...
Mais que faire maintenant?...
J'avais quelque vivre et de quoi me défendre en dernier recours...
J'était seul, plus que jamais, sa soif de vengeance était pour l'instant étanché, ma cher vibro-épée posée sur mes genoux était encore ruisselante du sang de Dalarok et des multiples personnes que j'avait tué ces trois derniers jours...
On n'aurait jamais dut tenter de me manipuler…
Bien que je n'étais doté d'aucun amour ou même affection pour eux, tuer mes frères fût assez dérangeant…j'avais l'impression de combattre mon propre reflet…
Mais le festin que je m'étais offert après avec les dépouilles de ces faibles valait bien ma petite indisposition…
Maintenant que j'étais unique, j'allais pouvoir vivre…
Alors que je continuait de conduire a toute allure dans ravin étroit entouré de deux gigantesque falaises de pierres, ma main droite se décolla du volant pour venir fouillé mon sac posé sur la banquette a ma droite, je sortit de ce dernier un bout de viande chimique séché avant de le mettre sur mes lèvres, accroché par mes dents taillées en pointes, l'avantage d'avoir des dents d'un carnivore issu des pires cauchemars de l'imaginaire commun, c'est que pour manger de la viande, c'est pratique…
Pour les légumes par contre, on repassera…
La viande fut mâché presque sauvagement et sans manière aucune...
Cette viande n'avait aucun goût, mais il fallait se nourrir pour survivre, je prit donc sur moi avant de l'avalé goulûment après l'avoir mastiqué quelque minutes, j'essuya mon menton au passage grâce a ma manche d'un filet de bave un brin gênant avant de me concentré a nouveau sur l'endroit...

Au bout de deux heures passées a traversé ce foutu ravin sous le soleil qui était déjà presque couchée, j'arriva enfin et finalement…
Dans une immense et magnifique vallée, sur des centaines, non des milliers de kilomètres, des ruines, des tombeaux, des statues, parfois en bon état, parfois fracturées, je dut même ralentir la vitesse de mon véhicule pour ne pas heurté une immense statue qui s'était écrasé de tout son long, c'était pour le moins…impressionnant, même moi qui n'était pas du genre a réellement montré ce que je ressentait, j'était presque…comment dire?...
Ha, si j'avait eu une enfance normal, j'aurait trouvé le mot mais la…
Étonné? Non, c'était plus fort…
Ébahi, oui, je crois que c'était ça…

Dalarok, ma presque mère, elle avait tenté de nous faire ressemblés, avec nos autres parents, a celui que l'on appelait il y'a deux cents ans "Dark Maul"…
Je ne sait pas si je m'approchait un tant soit peu du légendaire guerrier que l'on m'avait décrit toute mon enfance, répétant presque une litanie sur ses hauts faits d'armes d'une noirceur sans remord aucun…
En revanche, ce que je sait, c'est qu'avant d'être un Zabrak, j'était un clone, crée pour ressemblé a quelqu'un d'autre…
Quelqu'un qui, je vous le donne en mille, n'était pas moi…
Je finit par m'arrêté devant un long, très long mais surtout très haut escalier qui menait a une porte, celle-ci semblait un peu s'engouffré dans la montagne, architecture impressionnante…
Je ne savais même pas ce que c'était que tout cela…

Il faut dire que ma connaissance du monde extérieur se limitait a bien peu de choses, les noms des planètes principales de la galaxie, les différents types d'armes, les différents arts martiaux, je connaissait aussi l'existence de "L'empire" bien que je ne savait pas quoi rattaché a ce nom…
Une bonne partie des races qui constituaient la galaxie aussi et puis…c'était tout…
Alors allez me foutre un tombeau sith sous les yeux, je ferais pas la différence avec une école d'officier du sultanat Ewok!
Comment je sais que ça existe ça? J'en sais rien pourquoi? Ca vous gène que je dise une connerie?
Ha ça oui, par contre, j'ai bien assez put entendre les scientifiques râlé pour connaître les mots gras de beaucoup de langues aussi…

Après avoir juré quelques secondes en voyant qu'il me faudrait bientôt rechargé les batteries de mon véhicule, j'en sort, presque furieux…
Le soleil se couche alors que je gravis lentement les escaliers, portant dans ma main gauche mon blaster, à ma ceinture est attachée mon épée…
J'ai laissé mon sac dans mon speeder, j'avait le sentiment que la dedans, quelque rations de viandes séchés ne me serait pas réellement utile…

Haaa…se laissé tenté par ma curiosité…
En même temps, je n'avait pas le choix, si je devais resté quelque temps ici, autant connaître les lieux non?...
Alors que les derniers rayons magnifique d'un soleil orange se termine, j'arrive enfin devant l'imposante porte de pierre…

Je tente alors de la poussée…
Je comptait bien voir ce qu'il y'avait a l'intérieur…
Des gens peut-être?
Oui, je sait, je suis parfois un peu bête, mais bon, quand on sait pas faire la différence entre un tombeau et une école d'art martiaux pour peluches…Baaah…
Je plaque mes deux mains sur la lourde porte de pierre, place mes deux pieds en arrière, courbe mon dos…
Et pousse! Poussez madame!...
Non pas dans ce sens la…merci, je tient a la propreté de ma tenue…

Mmmmh les rayons du soleil venaient encore réchauffer les petites fesses de Maul, nouveau venu dans la région. Encore quelques minutes, et la lumière ne serait plus là pour allumer le chemin du jeune assassin. Devant lui se dressait une immense porte de pierre où étaient taillées dans 5 cm de profondeur des inscriptions siths. Une magnifique oeuvre qui égalerait presque les plus hautes tours de Coruscant. Quant aux marches, plus de 5 mètres de longueurs, sur 50cm de hauteur, craquelées, fissurées et très abimées manquaient de séffondrer à chaque pas de Maul.

Voilà que le Soleil allait rester encore 5 minutes parmis ce cher Maul, qui tente de pousser contre la lourde porte...en même temps, à part se prendre pour un cador de la gonflette ou un maitre sith, il fallait être fou pour prétendre vouloir pousser cette porte qui faisait bien une quinzaine de mètres de hauteur. Mais bon...Deux, trois, quatre...quatre minutes et demi étaient passées durant lesquelles le Zabrak poussait, sans répit...Mais voilà qu'il s'arrête, et il reste 20 secondes de durée de vie au Soleil...cinq...quatre...troi...deux...un (BONNE ANNEEEEEEEEE)...noir. Et bien entendu, pas de lampadaire, et manque de chance, il faisait nuit noir aujourd'hui. Alors Maul dû s'arrêter, de un pour reprendre son souffle, mais aussi pour se rendre compte qu'il n'avait rien fait...
Quelques cris d'animaux se faisaient entendre et des bruits pouvaient chatouiller les oreilles de Maul...

Mais un craquement se fit resentir, juste là, sous ses pieds. Encore collé à la porte, Maul n'eut pas le temps de bouger, que le sol s'ouvrit littéralement sous ses pieds comme une trappe. Dans sa chutte, le Zabrak rappa sa tête contre la porte rugueuse avant de carresser le vide...a peut près quatre mètres de vide avant un violent choc. Maul tombe sur le coude gauche, rendant son bras extrêmement douloureux. Lors de son aterrissage, il avait même pu entendre comme des branches se crasser sous son poids...
Il faisait un noir total, Maul ne pouvait pas même voir sa main qu'il plaçait devant lui...

Mais un rire vint perturber sa rprise de souffle. Un rire d'enfant, un enfant amusé...chose qu'il n'a pas du connaitre durant...durant justement son enfance. Mais c'était comme si l'enfant s'amusait de la chutte de Maul et de sa position assez inconfortable dans laquelle il était...mais bien entendu, il ne s'en rendait pas compte puisqu'il faisait noir.
Mais voilà que des torches s'allumèrent tout autour de lui éclairant une très très grande salle. Là il pu se rendre compte, entre autre, qu'il était assis dans une sorte de panier métallique suspendu à quatre cable de fer...panier, soit dit en passant, rempli d'os et de cadavres...moui comme une sorte de piège tendu à tout pilleur...

Juste en dessous de sa position, à environ 5 mètres, une sorte de piscine remplie d'un liquide rougeâtre faisant étrangement penser...à du sang. Du sang, d'ailleurs il en avait partout sur la tête notre Maul, et oui, n'oublions pas qu'il s'est fait ponser la tête contre la porte qu'il essayer en vaint de brusquer Rolling Eyes

Tout autour, des mur parraissant assez épais...mais dans un coin, une porte relativement grande où Maul pouvait observer une ombre...une petite ombre, comme un enfant, qui rigolait encore et encore...avant de disparraitre en laissant raisonner son rire dans les oreilles du Zabrak...
Puis, sans aucune présence:

Viens...viens...

Lui murmurait-on dans l'oreille avant que le panier ne s'ouvre laissant tomber tous les cadavre dans ce liquide qui était en effet, du sang. La chutte de Maul fut amorti par le ventre d'un hutt visiblement...

Il y'a des moments comme ca où on pourrait se prendre pour un Indiana Jones en culotte courte, non pasque la...

“...Mais quesque...Haaaa” Spaaaalf crac...

Une belle chute ma foi...
J'enrage...
Attendez mais...J'ai mal...Je saigne!
Je passe ma main droite sur mon crane, heureusement, aucune de mes cornes n'avait été écorchée...
Nous voici donc dans le noir le plus total, que faire que faire...
Je porte ma main libre vers mon blaster qui m'est retombé dessus, heureusement, a la recherche d'une cible...
Un rire aigu et étrange parvint a mes oreilles, la peur? Non...
Par contre, je ne comprenais pas ce qui se passait...
Je braque mon arme a droite puis a gauche...il n'y a aucune lumière...
Mon arme me sert autant qu'un balai a un contrebandier, et encore, un peu de nettoyage, c'est utile parfois mais la...

Soudain les lumières s'allument...

Belle décoration...claimant beaucoup le style nécro avec les squelettes et les cadavres plus “frais” dans le panier où je m'était retrouvé...
Bordel de merde...
Une ombre attire mon attention, je lève mon arme vers cette dite ombre qui me susurre déjà des mots a l'oreille...
Mais je n'ai nullement le temps de tiré que mon cable se détache, me faisant faire une belle chute de cinq metre pour finir, aussi bien moi que les autres cadavres, dans la piscine de sang...
Monte la colère monte...
La panique commence a me prendre alors qu'un autre cadavre me tombe dessus, me bloquant sous la surface de sang, je perd mon souffle, je ne sait pas quoi faire, je ne peut respiré sous le sang...
Je dégaine mon épée et découpe le cadavre qui était tombé sur moi, je ne sait pas quelle est sa nature, mais sur le moment, je m'en fiche, mes gestes sont plus nerveux que réfléchit a vrais dire...
Finalement, je parvient a coupé en deux le cadavre, enfin! Je sort rapidement la tête de l'ea...du sang, je veut rependre ma respiration...
Nerveux? Un peu quand même...

je me relève difficilement, la douleur sur le front se fait plus fort, je suis complètement trempé, ma peau rouge et noir brille maintenant d'un nouveau reflet pourpre, les Lumière des torches m'aveuglent encore un peu...

Mais où suis-je?...

J'enlève ma tunique qui pue le sang avant de la balancé dans un coin avant de cherché a retrouvé mon pistolet blaster dans la piscine, je fouille, je fouille, je renverse d'autres cadavres mais rien n'y fait, cette fois-ci, je l'ai bien perdu dans la piscine...
Je grogne d'insatisfaction, la colère commençait a monté, passé la panique et la peur de ma chute et de m'étouffer sous une marre de sang, je sent déjà ce sentiment que je connais bien se déversé dans mes veines...
Je saisit ma vibro-épée a deux mains, maintenant torse nu, j'avance lentement, je sort de la mare de sang, je dégouline complètement du liquide vitale...
Je monte un de mes doigts a ma bouche, je voulait goutté ce sang, ca passe un peu l'odeur que je dégage désormais, une odeur de putréfaction mélangé a celle du renfermé...

Je me retourne, la soif m'appel, il est vrais que cela fait plus de deux jours que je n'ai rien bu...
Mon sac dans mon speeder contient quelque nourriture, mais pas de liquide...
Je fixe un moment la fontaine de sang avant de retourné vers elle et de me baissé au niveau du sang, je pose mon épée a coté de moi et je boit le liquide vitale comme si ma vie en dépendait...et c'était le cas...
Au bout de trois gorgés, je me redresse, ma soif est déjà calmé et...je sait très bien qu'un corps normal tombe malade quand il ingère plus d'un demi litre de sang...
Hors, je n'avait pas pour intention de tombé malade, surtout pas après avoir vu l'ombre, si c'est a cause d'elle que je suis la...
Je m'essuie la bouche, je sent encore le gout acre, métallique mais plaisant du sang dans ma bouche...
Oui, je l'avait déjà fait...
Survivre trois jours dans un centre fermé, j'avait du boire du sang mais aussi accepté l'idée que les chaires d'hommes et de femmes pouvaient être comestibles bien que je n'avait pas été crée pour cela...
Peut être que mes créateurs avaient voulu d'une génération plus libre de ses mouvements, car j'avait la mauvaise habitude d'apprendre tres vite...

Je me redresse, reprend mon épée dans ma main gauche avant de me retourné vers la porte où l'ombre était la il y'a quelque instants
Voir rouge?...a peine...
De ma peaux dégouline encore quelque goûtes de sang qui tombe lourdement sur le sol dans une suite de plic, plic, plic, ploc...

Un grognement de haine s'extirpa de ma bouche alors que je m'approche de la porte avec la ferme intention de l'ouvrire et de retrouver cette ombre a la voix si aigue et a la forme si petite...

Désolé si c'est pas aussi développé que le précédent poste mais je poste quand je peux et j'ai pas forcément autant de temps que pendant les vacances ^^'

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La porte s'ouvre, lentement...très lentement. Et derrière? Rien...ou pas grand chose. Des cruches éventrées, quelques os et une sorte de grosse pierre avec un capuchon en pierre plus fin et plat...oé une sorte de tombe. Sauf qu'elle n'est pas aussi belle que ce qu'on aurait pu croire, ou ce qu'on voit dans les jeux tout ça. Parceque l'air de rien, on n'est pas dans un jeu là...mhmhmhhh...Maulinou risque sa vie...

Bref, je supposerai que Maul fait quelques pas à l'intérieur de la salle. Bien entendu, comme dans toute masterisation qui se respecte dans ces cas là, la porte se referme lourdement derrière le Zabrak dans une effusion de poussière.
Bloqué donc, entre une énorme porte, et quatre mur. Toujours au fond de la salle, le tombeau, à moitier ouvert...et la voix de l'enfant qui retenti dans la salle:

Ils vont tous mourir...Ils méritent tous de mourir...

Suivit d'un rire à la limite du sadique...mais c'est un enfant quand même. Maul n'eut pas le temps de réagir que sa vision se trouble d'un seul coup. Un léger vertige le faisait balancer de droite à gauche...et des flammes s'avançaient vers lui du fond de la salle. Au centre se trouvait un enfant, un tout petit garçon les yeux plein d'entreint...il s'approchait encore et encore de Maul et les flammes le suivait sans jamais le toucher. Il s'arrêta devant le grand Zabrak et le regardait avec un grand sourire d'enfant alors que Maul continuait de valser...

C'est alors que la trachée du Zabrak se reserra lentement. Le gamin avait tendu sa main et fermait le poing à la façon d'un sith. A chaque fois que Maul clignait des yeux, le gamin changeait de place. Tantôt il s'éloignait, tantôt il était a quelques centimetres de la tête du Zabrak. D'ailleurs à ces instants, Mauil pouvait voir un visage vraiment très laid...littéralement mité où l'on pouvait voir les os à travers la peau...une peau grise et des yeux blancs...

Tu n'as pas peur? Tu apprendras la peur...tu sauras ce que c'est...ta vie ne fait que commencer et ta mort s'approche à chaque pas que tu fais...Ils vont tous mourir...ils méritent tous de mourir...

Des paroles marmonnées au creux des oreilles du Zabrak.
Soudain la pression se relacha et Maul pu respirer normalement, sa vision se fit plus nette, et il n'y avait plus aucune voix. Dès lors, le sol se mit à vibrer...Puis plus rien.
Quelques temps se déroula, un moment pour Maul de récupérer de ses émotion et pour éventuellement se relever. Mais sans prévenir, et d'une façon qui effraierait plus d'un, deux squelettes apparurent à quelques metes du Zabrak. Chacun avait une vibrolame ancienne génération...et ils s'approchaient...lentement, l'un trainant une jambe, l'autre penchait sur sa droite...

Mais...
Où es que jsuis tombé moi?...
Comprenez bien, mon esprit clone, logique donc, ne peut pas comprendre des idées comme fantômes, morts vivants et tout ca...c'est pas mon catalogue a moi ca, moi c'est l'ennemi en chair et en os, on lui défonce la colonne vertébrale, on lui arrache le coeur, on lui écrase la nuque, on lui pète les os, on lui coupe les veines, on l'empale sur son épée, on lui écrase la tête, on lui fout une vibro-lame dans le cou et c'est tranquille...
La étrangement...Rien...je n'avais vraiment aucune idée de comment combattre ces créatures...
Et on se demande a quoi ca a servit les années d'entraînements aux combats...
Mais, sans que je le sache, tout du moins pas encore, ma génération de clone avait été crée pour pouvoir s'adapté a chaque situation, sans que ce système, inscrit dans mes codes génétique digne d'un soldat parfait d'un certain dictateur moustachue...vous allez me dire, ils le sont tous...

Bref! J'examine a mon rythme ces deux adversaires hors normes...

Mais j'en oublie quelque chose d'important, mes reactions vis-a-vis de...l'enfant? Qui était devant moi...

Quelle étrange salle, étrangement, je n'avais connu pareille architecture...
Moi qui était pour le moins habitué aux centres de clonages a la propreté maniaque effectuée par des droides aussi causant que des muets...

Ca me paraissait vieux, sale, mais pourtant étrangement attirant...
Sauf que c'est moche...
Très moche...

Quand la porte se referma derrière moi, ma tête se tourne vers la droite, assez pour la voir...
Plus de sortie...
Pas grave...
Il n'y a pas de fuite possible a long terme de toute facon...
C'est quoi donc cette voix?...
Un enfant? Ici?...Me parlez comme ca, a moi?...

Mon gant de cuir se resserre sur la poignée de ma vibro-épée, un léger grognement aussi, pour toute réponse...

C'est alors que...
Je ne sait pas ce qui m'arrive!
A vrais dire, les scientifiques avaient normalement trafiqué mon ADN pour m'empêcher d'avoir des nausées ou de pareilles ennuis, je n'avait donc jamais connu ceci et cela était assez...étrange, la peur? Non pas peur, quand on vie dans l'ombre d'une centaine d'autre types qui vous ressemblent comme deux goutes d'eau tout en sachant qu'a la fin, il ne peut en resté qu'un, oui j'aime bien mettre un ptit clin d'oeil, la peur, on l'oublie très vite...

Mon arme tombe au sol dans un cliquetis métallique...

On pouvait dire tout ce qu'on voulait, mais avoir été crée avec pour but le soldat parfait, cela avait tout de même quelque avantages...

Un vertige, je crois que c'est comme cela que l'on appel ma sensation de faiblesse, cela ne me plait pas du to...Que...je ne peut plus...
Cet enfant...Cet enfant est un monstre...Cet enfant qui s'était rapproché de moi avec ce regard stupide était un monstre...
Étai-ce le résultat de mon imagination? Un scientifique nous avaient appris un jour a moi et a mes frères que l'imagination peut faire beaucoup de choses, apparemment, pour notre santé mental, il nous avait laissé cette imagination, a contre coeur si je me rappel bien le ton utilisé par le scientifique...

Il prit alors la forme de la pire chose qu'il m'ait été de voir dans ma vie, nous avions dut combattre dans les caves du centre des monstres en tout genre, mais cela...cela était presque irréelle...

Il me relâche alors, c'est comme si de rien ne s'était passé...
Je tombe a genoux pour reprendre mon souffle, le goût du sang m'est revenu dans la bouche et je suis a presque rien de vomir tout ce que je n'ai pas encore totalement digéré...
Une telle puissance...

Finalement, je me redresse alors que le sol tremble...

"...peur?...Peur de toi enfant?...Je connaît la peur, mais elle ne m'est jamais donné par un être aussi répugnant que toi..."

Non, franchement, je sait toujours pas d'où je la sort celle la, mais le résultat se fait voir tout de suite, je me baisse pour récupéré mon épée qui était au sol avant de fixé d'un regard mauvais mes adversaires...

Deux squelettes, je crois que c'est comme ca qu'on les appelles...
Ils sont lents, très lents...
Aucun charisme...c'est avec ca qu'on veut me faire peur?...

Je saisit ma vibro-épée a deux mains, fixe un bref moment les squelettes...
Minable...vraiment minable...
Et sans un autre bruit, je m'élance vers eux, je tente de frapé de haut en bas le premier qui me tombe sous le nez puis, d'un mouvement de jambes, je tourne sur moi même pour frappé deux fois le second squelette, évitant ainsi d'être trop près des deux tas d'os que je ne comprend pas...

action:

1: une attaque vers le premier, coup du crane vers le bas du ventre, et oui, une vibro-lame sur de l'os, ca coupe bien!

2 et 3: Coup sur le seconde squelette

Les morts vivants s'approchaient à petits pas vers leur victime. Les deux attrofiés par le temps, les os claquaient sur chaque pas. La voix du garçon raisonnait encore et encore...Puis plus rien lorsque Maul envoya son premier coup devibrolame. La lame fendant l'air en un léger bruit vint pourfendre le tronc du squelette qui tomba au sol, les deux parties d corps séparrées.
Les autres coups portés au dernier squelette eurent le même effet...une décapitation breve et sans douleur.

Presque trop facile aurait pu se dire Maul qui avait, sur le coup, totalement reprit ses esprits...et la voix du gamin qui retentissait:

Ils méritent tous de mourir pour ce qu'ils ont fait!
Tous...

Tout se tû. Les oiseaux, les cailloux, les fourmis et le froufrou d'un froufrou froissé. Plus rien...Jusqu'à ce que le sol ne tremble encore une fois. Et, sortant du sable déposé au sol, des dizaines de squelettes se mirent à s'animer, s'avançant peu à peu de Maul...encore...et encore...et encore...

Trop facile oui, vraiment trop facile...
Les os étaient découpés comme du beurre par la vibro-épée, il n'y avait même pas de plaisir a sentir le sang de ses adversaire se répandre sur ses mains et sur son corps, ici, tout n'était que bruits cassants et poussières...

A croire que j'avait frappé trop fort, car mes deux précédents adversaires eux étaient déjà a terre, découpé net...
Je courbe le dos pour saisir dans ma main gauche une des deux vibro-lame qu'ils portaient alors que l'enfant parle a nouveau, grognant faiblement en voyant l'état de ma nouvelle arme tout autant que par moquerie...
L'épée dans la main droite, la lame dans la gauche, je me redresse, toujours torse nu, j'avait encore beaucoup de sang sur moi, masquant en partie mes tatouages, j'avait un grand plaisir a sentir le sang se séché lentement sur moi...bien qu'il gênait quelque peu mes mouvements...
Le sang séché, c'est pas le top pour être vif...

Un autre tremblement de terre, cette fois-ci, je ne suis pas prit d'un malaise, je reste droit comme un piquet, fixant le sol en grognant, cherchant l'enfant sans le voir...

"...Mourir...qu'ils le méritent ou non, peu m'importe enfant..."

Regard haineux vers les squelettes, ca n'avance a rien, sinon a mettre un peu de classe, voix caverneuse, sombre, menaçante, oui, on m'avait aussi appris a faire peur...
Un bon soldat use de toute ses armes, la peur en fait partie...
Un bon assassin sait que l'ombre, qu'elle soit physique ou mental, est toujours une bonne arme...

"...Mais toi...fantôme...ne mérite tu pas la mort?...Toi qui la sème sans vergogne...Je ne sait pas qui tu est ni ce que tu est, je ne sais même pas ce que je suis...Mais je sait que tes larbins me gene...alors montre toi et prend plaisir au spectacle..."

Je m'avance vers les squelettes, ils sont toujours aussi stupidement lent, un regard vers l'arme que j'ai récupérée...elle ne me servira a rien sur le long terme...
Je la lance sans vergogne sur le premier squelettes qui s'approche avant de m'horrifier un instant...
La peur...
Ces squelettes...sortent du sol...aucune vie ne les animes...qui peut bien être cet enfant pour m'inspirer pareille peur?...Sentiment jusqu'alors solitaire...

Je cherche alors l'enfant du regard avant de me rapproché lentement des squelettes...
j'avait tellement envie de les broyés, de les écrasé sous ma bottes...
Mais je ne tenais pas a rejoindre leur rangs, si tenté qu'est de rentré dans le lard a plusieurs dizaines de squelettes...
Peur, rage, entêtement...
Si bon...Si bon de se sentir a nouveau en vie, comme lorsque l'on nous a libéré pour nous entre-déchirés, mes frères et moi...

Si bon que j'en oublie toute idée de survie pour sauté droit vers les squelettes qui continuent de se rapprochés vers moi comme des zombies lobotomisés, baissant mon épée vers la masse d'ennemis devant moi, laissant la rage et l'envie de montré a ce fantôme que je n'étais pas qu'un simple pilleur de tombe prendre le contrôle de mon corps et des mes idées...
Je voulais le voir en vrais, je voulait sentir son sang chaud d'enfant sur mes mains, je voulait saisir son crane difforme par les cheveux et le monté haut dans le ciel, au sommet d'une montagne avant de planté sa tête sans corps dans une lance et me repaître de son corps chaud d'enfant...
Au lieux de cela...j'avait droit a des squelettes...

Je sent a nouveau le bonheur des différentes drogues que mon cerveau envoie dans mon système nerveux afin d'être plus réactif, plus fort, plus violent, en un mot, plus clone...
Mes yeux haineux, jaune entouré de reflet rougeâtre, lancent des éclairs et ce n'est pas loin de passé au sens propre alors que j'empale le premier squelette qui me passe sous le nez, grognant de satisfaction en sentant les os se brisé sur mon épée puis sous mon pied quand j'écrase l'un de mes précédents adversaires afin de m'élancer a nouveau vers ma prochaine proie, frénésie instable et dangereuse...

Certain disent que les meilleurs combatants sont ceux qui savent se maîtrisé, je leur répond que celui qui use de sa haine pour détruire ses ennemis sera le plus redoutable adversaire que l'on puisse trouvé...
Usé de ma haine pour massacré mes frères et mes pères et meres avaient été la plus grande satisfaction de ma vie, goûté a la chair d'être identique que moi...quel plaisir...

Malsain? Moi?...Non logique, pour vivre, il faut se nourrir et boire...
Et puis...On ne m'avait jamais dit que me nourrir d'être vivants étaient mauvais alors...
Comme d'ailleurs on ne m'avait jamais appris que des fantômes et des squelettes, ca existait...

Maître du Jeu Nombre de messages : 246 Date d'inscription : 07/10/2007

(Bon vu l’absence d’Arvel, je te reprends en MJtage en attendant son retour)

Les squelettes se massaient autour du Zabrak et lui-même les tranchait, comme un bûcheron face à une fôret… La vibro-épée ne cessait de fracasser les uns après les autres les hordes qui l’attaquaient….Sans le toucher tellement ses squelettes semblaient maladroits…

Mais pourtant, leur nombre ne diminuait pas…. Bien au contraire, ceux-ci se déversaient en horde ininterrompue dans le tombeau… La personne enterré ici n’était pas partie tout seul…

Le rire de l’enfant retentit alors…..Les squelettes cessèrent aussitôt leurs attaques…

Tu te débrouilles Zabrak….Et pourtant tu es faible….Si faible….

Notre héro n’aura pas le temps de répondre que voila une vision qui assaille son esprit….Une scène, un pont suspendu dans une cité moderne….Une forme agenouillée…..Face à elle deux hommes, tous deux portant ce que notre héro identifiera comme un sabre laser…

L’image se fait alors plus claire en son esprit….La chose agenouillé….C’est lui….Le Maul originel empli de…de peur…….Une forte odeur d’urine se fera sentir à ses narines alors qu’il entend son double originel parler :

Pitié grands Jedis…Pitié….Ne me tuer pas….

Retour à la réalité….L’enfant qui ri….

Tu n’es que le clone d’une loque étranger….Et ce soir ton squelette rejoindra mes troupes.

Et la horde de squelette de se rediriger vers notre héro..

Et bien, si on m'avait dit que de telles situations existaient, je me serait laissé tuer par mes frères quand j'en avait l'occasion...
L'idée de mourir pour devenir une de ces créatures n'était pas vraiment pour me plaire...

Ils étaient faible, terriblement faibles, aussi rapide qu'une plume qui tombe au sol, mais pourtant, les squelettes m'obligeaient lentement mais sûrement a reculer, ils étaient bien trop nombreux et je préférait évité d'être encerclé, même face a des adversaires aussi faible, mieux valait ne pas être encerclé...

C'est alors que le rire, ce rire que j'avait envie de faire taire a jamais retentit a nouveau...
Avec lui, des paroles...Et une vision...

Des sabres d'énergie pure, des sabres laser...Des hommes et une forme noire agenouillée devant eux...
C'était moi...
Quoi que...Non...Sans être vraiment sure, sans être certain, j'avait l'étrange impression que ce n'était pas moi...
Darth-Maul...Mon père d'un point de vu génétique...
Il a une voix de lâche...

Retour a la réalité...

Voix moqueuse...
Je reste un moment tétanisé...Mais pas longtemps...
je sent la froideur de ce tombeau combattu par la lave qui coule en moi, je sent ma tension monter jusqu'à des extreme, je sent mon cerveau envoyer de multiples drogues dans tout le corps dans des doses toujours plus impressionnantes, je sent mon coeur rugir et s'envelopper dans une paroi de force brute, je sent mes yeux se plisses, mon nez se rétracter, je sent la colère et la haine se déversé en moi comme les grandes chutes du Niagara, a la différence près que l'eau de ces chutes est d'une lueur pourpre et que des vapeurs rougâtre en sortent...

"...Je ne suis pas un clone...Je ne suis pas..."

Un squelette approche trop de moi, je lève mon arme et je le tranche en deux dans un grognement bestial...

"Si il était faible...C'est lui que ca regarde...Mais moi...Moi je suis fort! Et je ne crèverais pas dans ton tombeau! Enfant de pacotille!"

Mon épée se lève alors, je saisit une vibro-lame qui est tombé au sol en même temps que mon précédent adversaire avant de pousser un long hurlement de rage en chargeant les squelettes...
Découper, trancher, hurler, frapper, détruire, rien ne me résistera...
Et surtout pas ces faibles créatures et leur maîtres...

"Montre toi! Fantôme lâche! Cesse de jouer et apparaît moi! Réglons notre différent dans le sang!"

Ma voix sombre, puissante et autoritaire, résonne dans les pierres du tombeaux...
Je ne savait pas que S'était capable de hurler avec tellement de puissance, je tranche les squelettes mais cette fois je n'ai plus aucune prudence, je me sert de tout ce que l'on m'a appris pour survivre et si mes bras tranche sans distinction aucune, empreinte d'une frénésie rare, mes jambes elles ne sont pas en reste, coups de pied et coup de genoux sont a l'honneur ce soir, tout autant que les deux armes que j'ai...
Si seulement j'avait mon blaster, en moins de quelque secondes, tout serait arrangé...
Je saute comme un fauve dans une mélée violente et brutale ou les squelletes n'ont plus le temps de rien faire, je grogne, hurle, cri tel une bête sauvage, laissant parler mes plus profondes pulsions sanguinaires, mais ces squelletes n'étanche pas ma soif...Loin de la...

Maître du Jeu Nombre de messages : 246 Date d'inscription : 07/10/2007

Ainsi notre Zabrak était là, tranchant les squelettes maladroits comme des épis de paille…Et toujours en fond sonore le rire de l’enfant :

Ah cette colère…Abreuve moi de ta colère misérable Zabrak….Regarde toi, tu n’es qu’un résidu d’éprouvette tentant de maîtriser un pouvoir que tu ne comprends pas… Bientôt ton squelette me servira, car c’est ce que tu es…. Un serviteur….

Et face à notre ami, un visage apparaîtra… Celui que Maul connaît bien, l’homme qui est son maître, l’immonde Palpatine :

A genoux à présent esclave.

Et Maul de sentir bien malgré lui sa volonté fléchir face à cette vision. Ce n’était pas un combat mental, pas un combat contre quelqu’un d’autre….Mais un combat qui fait lutter sa volonté et ses pulsions contre les gènes d’obéissance mis par les scientifiques…

Un combat que Maul doit gagner pour vivre….

Serviteur...
Esclave...
Clone...

Par l'ADN de ma cellule souche, me voila jugé et déjà examiné et imaginé comme mon original, une copie n'est jamais rien de plus qu'une copie...
Si c'est comme cela que penseront toutes mes rencontre, alors mieux vaut mourir ce soir...

Et pourtant, je ne veut pas rendre mon dernier souffle, j'en ai encore trop a voir, trop a dominé, trop a tuer pour simplement mourir, j'ai une vengeance a accomplir, un Empire a dévaster, un autre a bâtir, je ne serais pas comme celui qui m'a offert ses gènes, je serait plus puissant que l'acier, plus dure que la roche, plus grand qu'une montagne, je serait dominant et non dominé, je serait destructeur et non détruit...
Je serait la haine et la rage de mon coeur, et non celle d'un autre, je suivrait mes idéaux et mon étendards...

Et pourtant, lorsque la vision m'apparaît, je fléchit un genoux baissant la tête et les bras devant le visage, ce visage que mes genes m'indiquent comme mon maître...
Un visage disparut...
J'obéis a un mort...

"...Ton verbe est mon ordre..."

Mais voila...On m'avait aussi doté d'une faculté a passer par des chemins jusqu'alors peu orthodoxe, si on m'avait fait pour obéir, j'avait, au fil de mes raisonnements, trouver une faille, tel l'arme a double tranchant, on ne peut être vraiment sure de ma total loyauté, car je suis mes ordres a la lettre...

"...Mais...Pour le reste...Je n'ai pas a obéir..."

Je relève alors la tête et les bras, fixant le visage avec un regard noir et froid...
Mes jambes ne m'obéissent plus pour le moment, ce n'est pas grave...Dans un "cling" métallique, les lames de mes armes frape le sol, je me hisse dessus, m'élevant malgré mes jambes jusqu'au visage, j'ouvre grand la bouche, mes dents tailles en pointes se dirigent droit vers le visage, lorsque je sent quelque chose dans ma bouche, ma mâchoire se ferme sur...Le nez du visage...
Mes dents de prédateur pénètre la chair, je sent la chair se broyer et se découper sous la force de ma mâchoire, un cri se fait entendre, pour ma part, un grognement bestial s'entend de ma gorge lorsque j'arrache le nez de ma victime avec mes simples dents, sentir le sang dans mon gosier est une véritable joie et je crache ce que j'ai dans la bouche sur un tas d'ossements a ma droite après avoir avalé le liquide rouge...

Je me redresse lentement...l'ordre n'a plus aucun effet...

"...Et maintenant vermine, tu apprendra que si je suis clone, je ne serait jamais plus un serviteur...Retourne dans la mort que tu n'aurais jamais dut quitté!"

Mes épées se lève alors et perce la chair de son torse...
Je le fixe encore, arborant un maigre sourire, son sang est bon, j'ai encore le gout dans la bouche, ma langue râpeuse passe sur mes lèvres pour récupéré les minces filets qui glissaient sur mon menton...
Ce gout, cette odeur, cette sensation, elle me rend folle...
Plus de sang...Je veut plus de sang...

"Donne moi ton sang et ton pouvoir, et disparaît de ma vue, tu n'est pas digne d'être en vie car tu parle trop...Tu aurais dut me tuer quand tu le pouvais encore..."

Je n'ai pas le droit de faiblir, je n'ai pas le droit de courber l'échine devant ce faible vermicelle qui fait faire ses basses besognes par les autres...
La combativité, voila le cadeau de mes créateurs, voici ce que j'ai, quoi qu'ils arrivent, jamais je ne baisserait les yeux devant les autres...
J'ai tué mes anciens maîtres, saisit a pleines dents la libertés depuis a peine trois jours, que voila déjà un individu qui me veut comme serviteur...

Quand bien même je doit faire dans l'intellect limité de ce fantôme le parfait sous fifre, je ne suis pas prêt a servir stupidement, tel un de ces squelettes...
Il n'y a pas de maître, il n'y a que des objets qui peuvent me servir pour gravir les marches d'un pouvoir que je n'imagine même pas, un pouvoir que maîtrisait mon père biologique, un pouvoir qui me donne force et grandeur dans cet endroit maudit...
Je me penche lentement vers l'oreille de mon adversaire avec un sourire sadique

"...Disparait..."

Maître du Jeu Nombre de messages : 246 Date d'inscription : 07/10/2007

Un hurlement…C’est un hurlement de douleur que poussera le pseudo-fantome lorsque Maul lui arrachera le nez….Un sang épais et impur s’échappera de la plaie alors que les squelettes tombaient autour de lui…

Stop, minute….Depuis quand ça saigne un fantôme ? Et depuis quand ça crie ?Notre Projet secret a beau être neuf en cette vie, il y a de quoi se poser des questions….Surtout quand cette saloperie de fantôme allume un sabre laser en fixant Maul avec un air hargneux :

Six mois que je me planque ici à échapper à ses tarés du temple et à bouffer le pouvoir de vieux fantômes, tout ça pour que toi, espèce de sous copie d’un sith célèbre vienne tout bousiller…Crève charogne..

Et le gosse de se ruer sabre en avant vers Maul….

Tient...Voila autre chose...

Un vivant...
Vivant...Donc mortel...Donc éliminable...
Plus de compte a rendre a l'éternité alors?

Tuer...

Le gosse hurle, ses pantins tombent en miettes...
Sous copie?...
Ce gosse n'a jamais appris a insulté, ce fiéfé bâtard imbécile, ce nain puant l'aigre-doux et la moiteur moisit de ce tombeau...Il a osé m'insulter?
Crève charogne?...

Un fin sourire apparaît sur ma face alors qu'il dégaine son sabre laser...
Ces armes n'étaient pas a prendre a la légère, une seul arme comme ceci peut tranché net le plus dure acier...
Comme celui qui compose mes armes...Et ne parlons pas de mes vêtements et de ma chair...

Je lâche la vibro-lame pris a un des squelettes pour saisir a deux mains la vibro-épée qui commence a pesée lourd, trancher a tout va des squelettes n'est pas ce que je peut appelez reposant...
Je pousse un hurlement de haine et je m'élancent a mon tour droit vers lui, je devais faire vite, le tuer avant d'être tuer...

Mon premier coup d'épée visera l'épaule gauche, il sera horizontal, le second tentera d'empaler son poitrail sur mon épée, si le coup marche, je laisse l'épée dans le corps de mon adversaire...

Quand au troisième et dernier coup qui m'est accordé par...Bon, je sait, on doit faire role-play donc...Disons le troisième coup que j'ai le temps de lui porter, je profiterait de la petite taille de mon adversaire pour lui assené un coup de genou dans le ne...Heu...Dans le trou béant que je lui ait laissé...Pardon...

Haa cette si sainte frénésie qui m'habite, je ne suis plus que le silence, le vrombissement de ma lame, ce si doux ronron

» [Mission] Une transaction des plus douteuse...