Bendak Ravage
Nom : Ravage
Prénom : Bendak
Âge : 31 ans
Sexe : Mâle
Race : Humain
Description mentale :Bendak est ce qu'on pourrait dire quelqu'un de mature. Il sait se montrer gentil comme être une personne désagréable et sans pitié. Pour éviter cela, il ne faut pas le chercher, car il est très suceptible et n'aime pas qu'on le critique ouvertement. Etant chasseur de primes, Bendak aime bien opérer en groupe. Il compte parmis lui de nombreux amis qu'il s'est fait en fréquentant des bars malfamés comme les cantinas et autres. L'homme aime bien sourire et est souvent d'une humeur joyeuse. Vous l'entendrez régulièrement dire: "Mmmh, c'est une bonne journée pour toucher une prime, aujourd'hui!" Bendak n'accorde sa confiance en très peut de personnes, car, plus jeune, il s'est fait roulé dans la farine plus d'une fois. Il aime les grans espaces verdoyants où il fait bon vivre. Mais aussi, il aime bien les rues glauques du quartier où il habite sur Coruscant. Dès son levé, Bendak à l'habitude de faire un petit tour dans les marchés de plein air où sentent les bons produits qui sont présentés sur les étales, avant de prendre son petit déjeuner. Il n'aime pas quand les gens lui tournent le dos, il préfère de loin la compagnie, même s'il est seul dans son petit appartement miteux. Il déteste l'Empire, tout comme la Rébellions, c'est pour cela, entre autre, qu'il n'a pas voulu faire son service militaire au sein de l'armée impériale.
Description physique : Bendak, haut d'un mètre quatre-vingt-cinq, est plutôt costaud. Il a des bras musclés, des abdominos assez visibles et des jambes entraînées pour courir à une vitesse de pointe sur plus de cinquante mètres, cela s'avère très utile quand il s'agit de fuir à une horde d'admiratrice qui ne vous lâchent pas et qui décide de vous poursuivre. Bendak a des cheveux plutôt longs, qui lui arrivent jusqu'aux épaules pour être plus précis. Il n'a pas de coiffure spéciale, mais il a toujours le visage dégagé et jamais aucune mêche ne vient se loger sur son front, devant ses yeux ou encore dans sa bouche, ce n'est pas très bons les cheveux à manger. L'homme possède des yeux profonds d'une couleur assez étrange, jaunes. Beaucoup de femmes aiment ses yeux, on se demande pourquoi... Quand il fixe quelque chose de précis, c'est comme si ses pupilles s'enflammaient étrangement, mais ce n'est qu'une illusion d'optique, rien de plus. Bendak se laisse pousser la barbe, c'est pour cela qu'il a toujours une barbe naissante sur ses joues, le haut de sa bouche et sur son menton. Il ne laisse jamais que ça. Il ne les laisse pas pousser plus, car il n'aime pas cela. A première vue, Bendak n'a pas trop la tête de quelqu'un de dur, d'un chasseur de prime. Mais, dans quelques occasions, quand il s'énerve, on peut lire sur son visage toute la rage et la haine qui l'alimente. Le chasseur se tient tout le temps droit quand il est débout et croise très souvent ses bras. Par contre, quand il est assis, il se courbe comme un petit vieux qui porterait sur son dos toute la misère de la Galaxie. Bendak pèse environt quatre-vingt-sept kilogrammes.
Histoire : Bendak est issu d'une famille aisée vivant sur la planète luxuriante nommée
Naboo. Sa mère travaillait au
Palais Impérial et son père était un commerçant prospère qui allait de planète en planète pour vendre ses fadaises. Bendak avait un frère,
Ujiin, qui avait sept ans de plus que lui. Les deux frangins s'aimaient beaucoup, ils partageaient tous les deux les mêmes passions, les mêmes rêves, les mêmes goûts, etc. Ils vivaient, lui et sa famille, dans une très belle villa au bord des lacs. Il avait deux voisins très gentils que ses parents aimaient beaucoup. A ses trois ans, Bendak alla pour la première fois à l'école. Il était un élève plutôt bon. Il comptait beaucoup d'amis et peux d'ennemis, pour dire, aucun. Il était doux avec tout le monde, même avec ses professeurs, un vrai petit ange.
Bendak continua sa petite vie paisible sur Naboo jusqu'à ce qu'il ait atteind les quatorze ans. Son frère en avait alors vingt et un et il venait de s'installer dans un petit appartement dans la ville même de
Thied. Ujiin était désormais un homme responsable, capable de vivre seul et était devenu politicien au sein du palais de la
Reine. Mais, alors que les festivités se préparaient en l'honneur à la réussite d'Ujiin, le père de Bendak et lui eut un message de la plus haute importance et confidentiel: il était reçu dans un grand magasin d'armes sur
Coruscant. La nouvelle rendit les moeurs confuses, tiraillés entre la joie et la tristesse. C'était une énorme responsabilité qui était donné à leur père. Soit il partait s'installer sur la planète-ville avec sa femme et son fils cadet et il deviendrait extrèmement riche, ou soit il restait ici et continuerait d'exercer son petit travail de commerçant. Au début, il refusa l'offre, mais, sa femme et son fils ainé, Ujiin, insistèrent pour qu'il accepte l'offre des demandeurs. Ujiin argumenta en lui disant qu'il pouvait se débrouiller sans ses parents, parce qu'il avait un très bon travail, un salaire bien chargé et un logis, tout ce qu'il faut pour vivre une belle vie. Bien sûr, Bendak n'essaya pas de convaincre son père, car, malgré qu'il soit surexité d'aller vivre dans une grande ville comme celle de Coruscant, il ne voulait pas quitter son frère tant aimé et les amis de son collège. Mais, malheureusement, le destin en décida autrement, finalement, le père de Bendak accepta l'offre des demandeurs et ils partirent direction la ville-planète. Les aurevoirs furent déchirants pour Bendak, bien sûr pour ses parents aussi, mais lui il sentait au plus profond de lui qu'il en était le plus affecté. Après une journée passée dans le vaisseau qui les amenaient vers la planète, ils firent quai, le soir, vers six heures. Ils prirent alors un taxi et ils se dirigèrent dans un immeuble immense, luxueux et illuminé de mille feux. Les demandeurs ne s'étaient pas fichus de son père, ils avaient mit le paquet pour l'appartement. En effet, il était gigantesque, presque deux fois plus grand que la maison où ils habitaient sur Naboo.
Bendak et ses parents vécurent heureux, mais toujours avec un petit pincement au cour pour Ujiin, pendant cinq ans. Bendak avait alors dix-neuf ans. C'était un matin, un matin toujours aussi majestueux dans l'appartement éclairé par le soleil matinal. Il était donc partit à l'école, car il avait décidé de faire des études plus approfondis. On toqua soudainement à la porte -les parents étaient toujours dans l'appartement- et la mère de Bendak alla ouvrir, inconsciente de l'incidence que cela allait avoir sur l'existence du jeune homme. Une dizaine de stormtroopers étaient postés sur le pas de la porte. Il bousculèrent la femme et la firent tomber par la même occasion et il arrêtèrent le père, prétextant qu'il faisait des trafiques d'armes illicites. Le soir, quand Bendak revint à la maison, il vit sa mère, allongée par terre, en train de sangloter dans la salle à manger. Ne comprenant pas ce qui lui arrivait, Bendak le lui demanda et elle lui expliqua tout en eclatant en sanglots par moments. Ils ne revirent plus jamais l'homme qui était à la fois le mari pour l'une et le père pour l'autre. La mère sombra dans l'acool et les bâtons de la mort, malgré son âge avancé. Ne gagnant plus le sous, car la seule personne qui avait un salaire avait été arrêté, Bendak commença à faire des choses pas très recommandables, car sa mère n'était pas en état de pouvoir travailler à cause de sa léthargie.
Ils vécurent comme ça pendant un an. Le jour de ses vingt ans, Bendak avait retrouvé sa mère, allongée sur son lit, les yeux fermés, ne bougeant plus et ayant une dizaine de bâtons de la mort à ses côtés et des pillules dont Bendak ne connaissait pas la provenance. Le jeune homme commença à sombrer alors dans la dépression. Il averti alors son frère sur la mort de sa mère, mais il n'eut jamais de réponse. Pourquoi? Ca, il ne le savait pas. Mais, un matin, alors qu'il venait de prendre son petit déjeuner toujours avec la même tristesse, Bendak se rendit compte qu'il était en train de devenir comme sa mère. Il se redressa alors d'un bond et il se dirigea vers l'armurie du quartier, il y acheta sa première
vibrolame et il s'entraîna à la manier correctement avec l'espoir en tête de devenir un chasseur de primes, car les études qu'il avait accomplit jusqu'à présent ne pouvaient lui permettre d'avoir un bon métier. Alors quitte à être un
marchand d'épices, il préféra devenir un métier qu'il aimait bien et qu'il voulait exercer il y a de ça dix années, tout comme son frère, sauf que lui était devenu un politicien vaniteux qui ne pense même pas à sa famille. Bendak s'apprêta alors à démarrer sa nouvelle vie. Il vendit l'appartement où il vivait avec ses parents et avec les sous qu'il s'était gagné, il s'en acheta un autre, plus petit, beaucoup plus miteux, mais amplement suffisant pour sa vie de chasseur de primes.
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Mer 12 Mar - 0:36
